Complainte sur la mort de l’imam Khomeynî^(qs)

« Il est difficile de réaliser cette réalité amère.

Au cours des années passées, il nous était très difficile d’imaginer ce monde dans lequel l’imam ne serait pas, un monde sans esprit, plein de désespoir, triste.

Au cours des années passées, il nous était très difficile d’imaginer la vie sans l’imam, une vie triste où ne serait pas présent notre imam, notre chef, notre désiré, notre maître, notre guide, notre père, notre espoir.

Toute chose vient de lui.

Tout était là mais c’était comme si rien n’était présent, comme si nous n’avions rien.

Le même Iran était présent, le même peuple était présent, la même position géographique, la même jurisprudence, le même Coran, le même Nahj-al-Balâgha.

Ils étaient présents mais [c’était comme s’] ils n’étaient pas là,[comme si] nous n’avions rien.

Peu de temps après, arriva l’imam^(qs) et il occupa la place.

Une telle existence qui a pourvu les quiddités de l’existence, a réalisé les choses !

Un tel esprit qui  a coulé dans le corps et donné vie aux parties de cet appareil, nous a donné la vie (nous a animés) ! »

l’imam al-Khamine’i

 « Mon Dieu, nous nous réfugions auprès de toi devant ce grand malheur ! Nous nous plaignons à Toi et nous cherchons consolation auprès de Toi ! Nous Te supplions de nous aider ! Ô « Baqiyyat Allah », ô Argument fils d’al-Hassan al-‘Askarî, nous te présentons les condoléances pour ce grand malheur ! »

Fatimah

www.lumieres-spirituelles.net     No50 – Rajab 1434 – Mai-Juin 2013